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Le Col et la Pointe de Chalune le 25.09.2015

Le 26/09/2015

ChaluneCompte tenu du temps magnifique, nous avons modifié la randonnée : Pointe de Chalune en partant de Sommand.

Les GEANTS DE CHALUNE étaient bien là (voir photo en haut à gauche) et nous avons rencontré les premières neiges ......

A voir la photo du bas, la descente était glissante et pas facile !

Les 3 Têtes (Glières) mardi 22.09.2015

Le 23/09/2015

3 te tesParcours : Descente dans le vallon d'Ablon, remontée à la Croix du Bénitier, pique-nique au Chalet d'Ablon et retour par le passage de la Gloire avec cueillette de champignons (Catrelles, Pieds de Mouton, Chanterelle et ..... voyez ci-dessous :

 

Bolet

2015/09/22 LPP La Chapelle de Bellevaux

Le 22/09/2015

CHRONIQUE D’UN « PAS PRESSE »…

22/09/2015

LA CHAPELLE DE BELLEVAUX

 

Ciel gris et temps incertain en ce matin du mardi 22 septembre. Peu importe, un transport en car est prévu : donc on y va…

Parking Sous-Aléry avec départ fixé à 10 h. Satisfaction des responsables : une trentaine de personnes se présentent, malgré cette météo peu favorable. Merci à tous ces adeptes de la marche, et plus particulièrement parmi eux, ces nouveaux venus désireux de nous accompagner ce matin dans la vallée de Bellevaux, en ce pays bauju où une récente « expédition » nous en a laissé un excellent souvenir.

Petite interrogation tout de même sur le parking de départ : cette dame arrivant courbée sur son déambulateur, va-t-elle pouvoir suivre notre rythme de marche, même si style Pas Pressés ? Suspicion qui s’avérera plus tard vite dissipée après quelques centaines de mètres parcourus avec l’aide des bâtons : chapeau Madame ! Et toutes nos excuses…

Dès les premiers kilomètres de ce trajet en autocar, direction les Bauges, on se rendait vite compte que la manière de piloter de notre conducteur du jour, ne donnerait pas lieu à des inquiétudes pour négocier les prochains virages…, parce que l’autre fois…

Au micro, après le mot de bienvenue, on s’apercevra de suite que l’un de nos accompagnateurs pour cette balade, n’est pas étranger à cette contrée du parc des Bauges : pas besoin de papier l’ami Louis : tout en mémoire ! Bravo, on apprécie. Mais n’y avait-il pas déjà des antécédents ?

Ecole sera notre point de chute pour nous équiper, chacun veillant à ne rien oublier.

Avec entrain la petite troupe s’étire sur cette partie de route asphaltée, laquelle bien vite laissera place à un large chemin forestier peu accidenté, découvrant de beaux spécimens poussant dans cette hêtraie.

Et paf : incident de parcours ! Ne voilà-t-il pas que la semelle de l’un de nos collègues, se met à se désolidariser de sa chaussure ? Sur l’asphalte ça irait encore ! Mais là sur ce chemin, à bailler de la sorte, les graviers, que dis-je, les cailloux prennent douloureusement place sous la plante du pied ! Il faut improviser pour remédier au mieux à cette défection ! Cela tombe bien : on arrive sur l’emplacement où jadis les moines travaillaient sans doute légèrement chaussés eux aussi ! Et là, tandis que notre loquace guide local nous faisait part de son érudition en nous contant l’historique de ces lieux de dévotion, l’embase de    ruine conservée servant d’atelier improvisé, nos talentueux « manuels » s’ingénient à solutionner un ressemelage de fortune. Des trésors, en l’occurrence, que contiennent les sacs à dos de nos accompagnateurs : ruban adhésif, lanières, ficelle… et j’en passe ! Et l’opinel comme outil universel, ca va se soi !

Bref, on peut repartir ! Pas loin, car le clocheton de la chapelle apparaît vite au travers des grands arbres. On a de la chance : la porte d’entrée de l’édifice reste ouverte : on peut apprécier le beau décor intérieur coloré entourant cette source, apparente dans une échancrure du sol, à laquelle la légende attribue de nombreuses qualités. Des plaques murales témoignent de la reconnaissance de ces fidèles guéris ou soulagés de leurs maux après de fraîches ablutions dans cette eau… miraculeuse ! Sans doute suffisait-il d’y croire… chaudement ! (dévot…) ?

Température plutôt fraîche à 954 m sous un ciel pas très coopératif, avec une petite brise, pour le casse-croûte, les randonneurs ayant assiégé les murets alentour.

Profitons-en pour prendre connaissance de l’historique de ces lieux.

http://www.123savoie.com/article-99-1-chapelle-de-bellevaux.html

Ecole-en-Bauges

A l'entrée du vallon de Bellevaux se trouve Ecole, petit village de 250 habitants (les Ecoulans). C'est aussi la porte d'entrée de la Réserve Naturelle des Bauges. Autour du village se dressent les plus hauts sommets des Bauges : Mont Trélod (2181 m), Le Pécloz (2197 m), Mont Colombier (2043 m), ... de belles randonnées en perspective !

La Chapelle de Bellevaux, vestige du passé, vit au cœur d'une végétation particulièrement abondante où les oiseaux, sangliers et autres gibiers ont repris leur vie sauvage.

Maintenant, ce site appartient à la réserve de chasse naturelle des Bauges, où se dressait autrefois un prieuré bénédictin fortuné et influent qui fut détruit et brûlé au cours de la seconde guerre mondiale avec son village.

Histoire du site

Venus de Lons-le-Saunier, des moines s'installèrent en 1090, dans ce lieu retiré et silencieux, sous la demande du seigneur de Miolans qui leur donna les terres afin d'y construire un monastère.

En 1654, un piémontais Louis Turinaz, qui voulait construire une usine sidérurgique sur les bords du Chéran, demanda l'autorisation aux moines propriétaires des terres convoitées. Ces derniers acceptèrent et travaillèrent aussi pour lui. Ils effectuaient ce travail dans des "maisons" où il y avait un haut fourneau, une fonderie, deux martinets et une martinette.

Cette industrie connut du succès et entraîna la construction d'autres bâtiments dans les Bauges grâce à un environnement naturel propice : des forêts riches pour alimenter le haut fourneau, la vigueur du Chéran pour entraîner les martinets et les moines.

Le minerai de fer, faisant défaut, est récupéré à dos de mulets dans la vallée des Hurtières en Maurienne. http://www.grandfilon.net/

Cette réussite entraîna une sédentarisation des paysans qui ne partirent plus en hiver pour nourrir leur famille.

En 1814, quarante neuf clouteries fonctionnaient dans tout le massif des Bauges. Les clous sont très utilisés : charpentes, tuiles de bois, semelles des galoches.

Les conditions de travail dans ces fonderies étaient extrêmement pénibles. La journée de travail débutait à deux heures du matin et se terminait à vingt heures, dans une atmosphère de gaz carbonique et d'oxyde de carbone, au cœur d'un environnement glacial.

L'ouvrier le plus habile pouvait fabriquer jusqu'à douze clous à la suite.

La productivité était de deux à six kilos de clous par jour et par ouvrier.

En 1775, grâce à leur réputation, les cloutiers des Bauges vont fournir le château des Ducs de Savoie.

Cependant, ce succès suscitant jalousies et contentieux, les moines furent accusés de détruire la forêt par des coupes de bois excessives. En 1729 et 1770, les coupes de bois vont alors être réglementées par des lois. D'autres conflits nuiront à la rigueur de vie des moines du prieuré qui fermera en 1788.

L'abbaye subit d'autres désagréments au cours de l'histoire : guerre entre Français et Savoyards, clocher rasé au nom du principe d'égalité, et sa vente comme "bien national" la transforma en grange à foin où en 1825 un incendie la ravagea. Enfin pendant la seconde guerre mondiale, les allemands brûlèrent tout le reste.

Aujourd'hui, en souvenir, un pèlerinage se pratique chaque lundi de Pentecôte jusqu'à l'ancienne chapelle.

Ce lieu est le départ de plusieurs promenades : une balade pour aller jusqu'à la chapelle puis au village en ruine, et le départ pour l'ascension du Pécloz (2197 mètres) pour marcheurs de montagne avertis.

Puis, notre doyen absent aujourd’hui ce que nous regrettons, à nous de prendre l’initiative pour l’heure de rebrousser chemin. Ah ! Une pente descendante le temps de la digestion : ce n’est pas plus mal !

Arrivés à la maison forestière, on bifurque à droite pour trouver le lit du Chéran lequel prend sa source plus haut sous Chaurionde, appréciant le fond sonore caractéristique de ces torrents de montagne aux eaux si limpides. Et aussi la route asphaltée attendue par notre éclopé aux godasses désormais bigarrées, un peu à la traîne, soucieux de ne pas trop engranger de gravier… Eh ! L’ami : la prochaine fois, pour profiter plus paisiblement de la balade, avant de partir, ne serait-il pas judicieux de procéder à une inspection du matériel de base ?

Petit détour par ce petit hameau de Carlet, vestige de l’esprit créatif des moines d’antan.

Puis heureuse surprise, notre car nous attend au Pont de Carlet, un peu plus bas, site que dominent, en toile de fond le Mont Pécloz, la Pointe des Arces, somptueux décor bauju.

Ce fut encore une balade prisée : merci Louis, Mireille, Jeannette… et vous tous pour votre agréable compagnie. Un nouveau programme vous sera bientôt présenté pour poursuivre cette verte saison avant l’arrivée du « blanc » mais aussi hélas des premiers frissons.

EP/vm

Une autre petite recette ... toujours pour les randos !!

Le 18/09/2015

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Aujourd'hui, vendredi 18 septembre 2015, il pleut, .... Alors pour vous occuper, je vous livre

une autre petite recette pour randonneurs : LES PETITS CROQUANTS.

Ingrédients :

* 120g d'amandes ou noix ou noisettes

* 2 c.àc. d'extait d'amandes amères

* 250g de farine

* 170g de sucre

* 25g de beurre mou

* 2 oeufs

* 2 sachets de sucre vanillé

* 1 c.àc. rase de levure chimique (pas plus)

Mettre tous les ingrédients dans un saladier avec 1 pincée de sel. Pétrir pour obtenir une pâte collante. Mettre en boule, couvrir et laisser reposer 30mn au frigo.

Préchaufer le four à 200°c (th.6). Sur un plan fariné, former 6 boudins de 25cm de long. Mettre sur une feuille de papier cuisson.

Mettre au four 12/13mn, retirer et couper les rouleaux en biseau sur une plaque.

Remettre au four 8mn.

Laisser refroidir. Miam, Miam !

Voilà à quoi cela devrait ressembler :

 

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Le Parmelan le 15.09.2015

Le 17/09/2015

 

Le 15 septembre 2015, 9 participants sont allés au Parmelan en partant de la Blonnière, rando non prévue mais le groupe a dû changer de destination suite à la pluie de la veille qui avait bien détrempé les terrains.

 

Le parmelan

Le Col de la Vanoise le 11.9.2015

Le 13/09/2015

 

Le vendredi 11.09, nous sommes partis aux aurores pour aller au Col de la Vanoise en partant de Pralognan.

3 groupes se sont formés, le 1er a rajouté une petite variante et a atteint le Col de la Vanoise pour déjeuner à 13h, le 2ème a rajouté une grande variante un peu sportive d'après les participants et n'a jamais atteint le Col de la Vanoise, le 3ème plus sage (on dirait les 3 petits cochons) est monté directement au refuge du Col par le Lac des Vaches, la Grande Casse et le Lac Long et est arrivé à une heure tout à fait raisonnable.

Quelques photos de ce périple :

 

Col de la vanoise

 

2 PHOTOS DE PLUS : EDELWEISS ET MARMOTTE.

 

Edelweiss

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Du Plan de l'Aiguille à la Mer de Glace

Le 13/09/2015

Chamonix1Le 8 septembre, 8 randonneurs affrontent les Balcons nord de Chamonix, du Plan de l'Aiguille à la Mer de Glace ....

 

Chamonix

2015/09/08 LPP La Croix-Fry/Merdassier

Le 08/09/2015

CHRONIQUE D’UN « PAS PRESSE »…

08/09/2015

LA CROIX-FRY/MERDASSIER

 

Chouette ! En ce début de matinée le ciel est bleu ! Cela tombe bien car les Pas Pressés repartent pour une nouvelle saison de randonnées.

But de la balade du jour : les Aravis et plus précisément la Croix-Fry/Merdassier.

Covoiturage pour cette vingtaine de fervents randonneurs fidèles, heureux de retrouver cette détente que procure la marche en groupe, après une chaude trêve estivale.

Avec plaisir, nous accueillons de nouvelles adeptes, celles-ci sans doute un peu anxieuses, sinon curieuses, de connaître à « quelle sauce elles vont être mangées ». Cette première approche les rassurera-t-elles ? Vont-elles trouver en notre compagnie ce dont elles recherchent ?

Il est 10 heures, et, répartis en cinq voitures, nous voilà en route : direction Thônes Manigod. On prendra vite de l’altitude en empruntant les lacets de la montée au col de la Croix Fry. Arrivés à 1 467 m, il fait plutôt frisquet sous l’effet d’un petit vent qui souffle, d’autant plus que notre beau ciel matinal nous a abandonné pour l’instant ; la polaire ressortie sera la bienvenue !

Mais que se passe-t-il ? Quel est donc ce bruyant va-et-vient de ces mastodontes colorés de chantier qui s’accaparent toute cette partie du col, descendant des alpages, sans discontinuer ? Bon ? Nous qui croyions entendre la mélodie des clarines… Des panneaux nous indiquent qu’un projet de télésiège quatre places est en cours de réalisation !

Equipée, la néanmoins joyeuse troupe s’engage d’un pas décidé (même si pas pressé !) sur le large chemin forestier longeant la route en contrebas. Les alpages apparaissent, et bien vite le décor montagne nous rattrape avec la Pointe de Merdassier qui nous domine de ses 2 313 mètres.

Et c’est la découverte, pour la plupart, de cette station plutôt encaissée, le Mont-Charvin droit devant en point de mire. L’air est frais : on ne s’attardera pas ici ! Dommage, sous le soleil ce lieu serait sympa !

A 1 500 mètres d’altitude, cette station de loisirs : ski en hiver, séjour vert en été, tout comme sa sœur de la Croix-Fry se situe sur la commune de Manigod – cuvette généralement bien ensoleillée (sauf ce matin…) au pied du massif de l’Etale, tout est à portée de main ; pistes, commerces, boutiques…, c’est la station familiale par excellence.

Filant vers l’ouest, on espère alors trouver le petit coin abrité du vent qui nous permettra d’assouvir notre fringale, car les aiguilles tournent…

Pour l’instant, apprécions le grandiose décor qui s’offre à nous en ce point panoramique du circuit, sur ce bon chemin qui nous conduit à travers l’alpage. Devant nous, de part et d’autre du Mont-Charvin qui culmine à 2 409 m, à gauche la Pointe de la Mandallaz, au premier plan : l’Aiguille de Manigod, l’Etale avec ses 2 483 m. A notre droite : la montagne de Sulens et ses verts alpages qui contrastent avec le décor minéral alentour, la majestueuse Tournette dont l’aspect diffère de celui qu’on a coutume de voir, côté lac…

Ici l’occasion pour notre cher ami Jean, de nous conter quelques-uns de ses souvenirs de sa jeunesse laborieuse. En effet, là-bas au loin, sous l’Aiguille, dans cette vallée qui mène au Charvin, il nous indique, avec un brin de nostalgie, l’endroit où il naquit, il y a de cela plus de 90 ans ! Vie besogneuse à cette époque, en ces lieux accidentés où la mécanisation n’avait pas encore fait son apparition. Il fallait travailler dur pour simplement vivre… Il est coutume de parler du « bon vieux temps ». ! Il fallait cependant lutter sans discontinuer pour protéger la moindre parcelle cultivable arrachée à la friche par nos courageux aïeux, contre l’envahissante forêt. Les armes ? La faux à la bonne saison ; le « goliet » (serpe), la « piule » (hache), le « trossi » (passe-partout), dès que l’absence de neige le permettait. Bien sûr, ces joyeuses « veillées », ces fêtes du terroir, la « vogue », et aussi une certaine pratique religieuse…, contribuaient à maintenir souvent un excellent état d’esprit, une ambiance, mais hormis cela, que la tâche était rude, éprouvante !

Mais je m’égare, me direz-vous ? Pas du tout, car moi-aussi, alors écolier, j’ai connu ce temps où le béret « universel » protégeait des intempéries ; la « boîte » de bois au couvercle abattant servant de cartable, sur le dos, par-dessus la blouse grise uniforme ; les culottes courtes laissant la peau rougir par la bise glaciale ; les grosses chaussettes devaient nous protéger du froid, mais que cette grosse laine rêche était urticante pour ma peau sensible ! Et puis ces galoches ferrées qui nous laissaient les pieds mouillés, que ce « fourneau » à bois, fumant, au centre de la classe n’arrivait pas à sécher…

Et ce trajet à pied sur ce chemin de terre où il fallait « faire la chalée » dans cette neige tombée en abondance, tandis que le « traineau » (chasse-neige) tiré par les puissants chevaux ne passerait que bien plus tard pour ouvrir la voie… et j’en passe ! Alors, croyez-moi : ce « bon vieux temps », d’en parler, me laisse un goût amer !

Mais revenons à notre doyen… Un jour d’été, tout là-haut sous la falaise, alors qu’il secondait (mais en avait-il le choix ?) son père dans la dure besogne de fenaison en montagne, à y mettre trop d’ardeur à l’ouvrage, l’ami Jean, adolescent, en brisa sa faux… Depuis, l’herbe a repoussé, au gré des saisons, mais aujourd’hui, elle n’est plus fauchée ! Et sa maison n’existe plus… Mais le souvenir demeure !

Alors, on casse la croûte où ? Ben là-bas, dans cette pente herbeuse exposée sud, bien sûr ! Regardez : l’ami Dédé, assis au milieu, a déjà sorti l’Opinel… Et à présent le soleil a daigné se montrer, nous réchauffant aussi le moral. Qu’est-ce qu’on va être bien devant ce sublime panorama de montagne !

Ah, notre doyen a terminé sa sieste ! Encore quelque blagues, et nous voilà repartis, repus, appréciant cette partie de parcours panoramique, avant le sentier descendant en forêt : hum ! Ca sent le champignon ! Un passage marécageux ensuite, puis il nous faut remonter vers le col ! Pas d’échappatoire : dure la côte terminale avec la digestion !

Et hélas, on va retrouver le bruit des engins de terrassement poursuivant leur ronde incessante… Et que de poussière alentour !

Le temps de retrouver nos chaussures légères, de nous acquitter de nos dettes (de trajet), et nous voilà roulant en direction de la Clusaz, pour un retour sans encombre.

Cette randonnée a été appréciée de tous : merci les accompagnateurs.

Et alors, qu’en pensent nos « débutantes » ?

Incorrigible, j’ai laissé ma plume courir sur le papier…

Allez, merci à tous pour cette belle reprise, et à la prochaine, dans les Bauges !

EP/vm