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Le 12/11/2016
Plan de la Limace dans les Bauges au départ de Précherel. Beau temps. Encore quelques couleurs d'automne.
Le 06/11/2016
LE GRAND COLOMBIER :
Plusieurs nouveautés pour ce circuit : Nous sommes allés nous garer à 4 kms de l'endroit habituel et avons pris ce circuit à l'envers ce qui nous a permis de démarrer en douceur et d'arriver au bout tranquillement. Beaucoup de vent au sommet mais nous avons trouvé pour le déjeuner un endroit inédit à l'abri du vent, un peu plus loin, en direction de Culoz. Dernière nouveauté : les hommes étaient majoritaires ! (10 hommes pour 8 femmes).
2016.11.02 LPP Les Chemins d’Angely à Vaulx
Le 02/11/2016
CHRONIQUE D’UN « PAS PRESSE »…
02/11/2016
Les Chemins d’Angely à Vaulx
Dix-huit : c’est le nombre de partants présents au rendez-vous du jour fixé à 13 h, au parking des Grèves, sans inscription préalable. Dix-huit, ben çà fait juste ! On verra pourquoi plus loin…
Privée de sortie la semaine passée pour cause de mauvaise météo, celle-ci, bien qu’annoncée comme peu favorable à priori, se montrera finalement clémente aujourd’hui.
Et tiens donc ! Pour une fois la gent féminine se trouve être en état d’infériorité : c’est exceptionnel ! Le fait d’avoir reporté cette sortie au mercredi y est sans doute pour quelque chose !
Conformément au programme proposé, les Chemins d’Angely seront le but de la balade de cet après-midi. Destination Vaulx donc pour nos quatre véhicules ; Poisy, D14 pour Lovagny, Nonglard, puis D44 par Mornaz : le clocher est en vue. Ainsi une petite quinzaine de kilomètres, c’est bien, d’autant qu’à présent on a pris une heure dans la vue depuis le week-end dernier…
Vaulx : située à mi-distance entre Cran et Rumilly, cette commune du nord-Albanais compte 890 Vaulxois. Altitude du chef lieu : 540 m.
Traversée du village sac au dos en direction du nord, puis la petite silhouette du randonneur pyrogravée sur son petit carré de bois sera notre repère tout au long du circuit à travers cette campagne albanaise.
Grimpée coupe-pattes plutôt raide au départ, par la gauche : il faut « ménager la monture », le souffle devient court…
Mais bien vite on atteint le vert plateau panoramique : dommage qu’un plafond bas nous bouche l’horizon. Dans cette première partie du parcours, de petits panneaux descriptifs judicieusement implantés par l’Ecole d’Agriculture de Poisy, nous renseignent sur les diverses variétés d’arbres rencontrés, et plus encore. Le châtaignier parait dominer les essences rencontrées avec l’entrée en forêt, par un bon chemin carrossable. Mais tout au long, pas de quoi remplir la musette : on ne remarque que des gogues éclatées. Où sont donc passées les châtaignes ?
La première forêt traversée sur un tapis de feuilles mortes, le paysage s’ouvre sur le hameau de Fresnes. On découvre le centre équestre de bonne apparence, paraissant assez important au vu des nombreux boxes alignés. Mais de chevaux, point à cet instant : ils ont dû sans doute aller galoper dans la vaste campagne alentour.
Dans la prairie, au-delà de la clôture, paissent des vaches, image hideuse car sans cornes, et plutôt curieuses de voir cette troupe de bipèdes. Mais s’agit-il bien des mêmes animaux qu’il nous arrive encore de regarder avec plaisir dans nos alpages d’altitude ? Que ne ferons-nous pas à notre époque dite de progrès ! Bientôt nos petits enfants ne se poseront-ils pas la question de savoir de quelle espèce de bête est cette belle encornée devenue si rare ?
Coquet petit oratoire en bordure de la petite route asphaltée arrivant de Sallongy, hameau de Thusy. Puis à Fresnes-Dessus on oblique vers la gauche pour trouver le chemin à nouveau pentu nous amenant à la seconde forêt. Nous voici au Crêt d’Angely cote 689 m. C’est haut, non ? C’est en tout cas le point culminant de notre balade. A l’orée du bois, on découvre un nouveau panorama : au-delà d’Arzy, hameau de Sillingy, sur notre gauche au fond, le Salève, en face la Mandallaz et sa falaise incurvée caractéristique, colorée au soleil déclinant ; plus à droite, la Montagne d’Age, toute proche.
Toujours à travers la campagne albanaise, le large chemin descendant nous amène au Biolley, dernier gros hameau sur le parcours. Aux aboiements excités devant chaque maison, on pourrait dire que c’est le village des chiens, tellement ils sont nombreux à nous repérer. Au centre, un élevage de l’espèce, où l’on peut s’attendrir devant des chiots dont la mère multiplie des délicates attentions.
Coup d’œil, en sortie du hameau, à la belle chapelle restaurée, dans son décor arboré ?
Dernière pente descendante, traversée du ruisseau de Vaudrenaz, sentier du Pont-de-Pierre et la boucle se termine avec l’arrivée au chef lieu.
Trois heures de marche ont été nécessaires pour effectuer cette balade de huit kilomètres d’aspect vallonné à travers prairies et bois, plutôt agréable, à la satisfaction de tous ;
Avec cette reprise des sorties en après-midi, retour au rituel goûter ravigotant, apprécié sur la place de l’église. Hâtons-nous car, le soleil à présent disparu, le jour va vite décliner. Pour l’occasion, je reviens à l’allusion de début de texte sur le nombre de marcheurs : les boîtes de goûter contenant chacune six portions, pas de souci de répartition : le compte est bon !
Merci à tous, et à la prochaine, suivant le bon vouloir de dame météo.
EP/vm
Le 27/10/2016
Le Roc des Tours depuis le Chinaillon. Randonnée rapide, pas chaud, chaud ...
2016.10.19 LPP Montagne des Princes
Le 19/10/2016
CHRONIQUE D’UN « PAS PRESSE »…
19/10/2016
Montagne des Princes
LPP 2016.10.19 MONTAGNE DES PRINCES (photos Viviane)
« Ensoleillé le matin, le ciel se couvrira progressivement en cours de journée ; pas de pluie… »
Ainsi s’annonçaient les prévisions météo pour ce mercredi 19 octobre. Euh !
Bien présent le soleil en effet pour un départ à 9 h 30, destination « La Montagne des Princes ». Quatre voitures embarquaient la vingtaine de prétendants à une balade, secret espoir : sous les châtaigniers, en cette période de l’année…
Sillingy, la Combe, Mougny… Oh, au loin, sur le Jura des nuages noirs s’amoncellent : mauvais présage ! Bien vite le soleil se cache, et à l’approche de Clermont quelques gouttes apparaissent sur le pare-brise, celles-ci non prévues… Pas grave : ça va passer ! … Puis l’essuie-glace par intermittence devient nécessaire… Et à Droisy, sur le parking où les voitures sont laissées, il faudra bien l’admettre, le poncho deviendra indispensable !
Droisy est un petit village distant de 2,5 km au sud-ouest de Clermont-en-Genevois, peuplé de 160 « droiselands ».
La mine déconfite, maugréant contre ces prévisions météo erronées, la petite troupe s’achemine lentement sur la portion de route asphaltée, direction Crempigny.
A peu de distance, quittons alors la route pour nous engager à droite sur le chemin caillouteux, balisé, du Mont des Princes, rendu glissant par l’averse. Celle-ci va nous perturber par intermittence, en forêt d’abord, en pente ascendante modérée ; puis apparaissent les pâturages, et l’accalmie…
Il est midi lorsque nous arrivons à « la Ferme du Comte », précédée de la mare à l’eau trouble, où doivent s’abreuver les vaches paissant alentour.
La proche futaie, vers l’ouest, fournira l’abri éventuel, si besoin est, le temps du casse-croûte. Mais finalement, les quelques gouttes ne gâcheront pas la bonne ambiance qui prévaut.
Cependant, l’air fraîchissant, et le doute subsistant quant à l’évolution du temps, on ne va pas « moisir » ici : dommage, le lieu est sympa ! Quelques commentaires concernant la journée du 29 novembre où le repas de fin de saison est prévu au « Relais des Lanches » : choix du menu, coût, et nous voilà rebroussant chemin, itinéraire identique à celui de la montée.
Sans ce ciel chargé, le panorama serait superbe sur l’Albanais et au-delà.
La Montagne des Princes forme une barrière culminant à 935 m, entre l’Albanais à l’est, et la vallée du Rhône à l’Ouest. Les communes les plus proches de son pourtour : Clermont, Droisy au nord, Crempigny-Bonneguête au levant, Saint-André-Val-de-Fier à l’entrée de l’impressionnante trouée qui, au Sud, la sépare du Gros-Foug qui culmine à 1057 m ; au couchant : la ville de Seyssel et le GR 65 qui part de Genève, traverse la Chautagne pour aboutir à Saint-Genix-sur-Guiers.
Descente prudente car risque de glissade sur ce sol mouillé mais le poncho ne sera plus nécessaire. Tiens, une photo du groupe devant ce superbe houx bien fourni en baies écarlates, ferait un bon souvenir de cette balade un peu « tristounette » !
A l’approche de la forêt, nous guettons les châtaigniers dont les fruits tombés combleraient nos envies ! Mais la cueillette se soldera que par quelques fonds de sachet : dommage ! La perspective d’une soirée-châtaignes s’éloigne…
Au fur et à mesure de notre lente progression, le ciel devient plus clément : des coins de ciel bleu apparaissent au sortir de la forêt, et c’est sous un soleil retrouvé que nous arpenterons les derniers mètres, nous laissant ainsi un petit sentiment d’amertume !
Nous aurons parcouru environ 6 km pour un dénivelé positif de 200 mètres.
Malgré tout la balade aura été sympa et chacun pense déjà à la prochaine.
Merci à vous tous pour votre généreuse compréhension.
EP/vm
NB. N’oubliez pas de réserver auprès d’Andrée, votre journée détente à Montagny les Lanches du 29 novembre et invitez vos amis.
2016.10.12 LPP Mont (signal) du Chat – Molard Noir
Le 12/10/2016
CHRONIQUE D’UN « PAS PRESSE »…
12/10/2016
Mont (signal) du Chat – Molard Noir
(LPP) 2016.10.12 LE MONT DU CHAT (photos Edmond)
Certes ? Long fut le trajet d’approche, mais alors, au terme : quelle récompense !
Du parking des Grèves, départ à 9h 30 en covoiturage avec trois véhicules ; destination, qui n’est pas courante : le Mont du Chat.
Il fait frais, une forte gelée blanche recouvre la campagne ce matin ; il faut dégivrer le pare-brise. Qu’à cela ne tienne, le ciel est beau : nul doute qu’on va pouvoir en profiter…
Bien vite on longera la rive-est du plus grand lac naturel de France, toujours admiratif que je suis devant ces aménagements remarquables réalisés tout au long, depuis Aix-les-Bains, pour le confort et la sécurité de tous les usagers : automobilistes, cyclistes, piétons…
Contournement du lac, puis au Bourget-du-Lac se présente la Route du Relais D 42, laquelle sur 14 km d’amples lacets, nous permet, avec une pente moyenne de près de 10 %, de gravir cette imposante masse quasi verticale de la forêt au-dessus.
Quelque inquiétude avec la stagnation de cette barre nuageuse là-haut, nous privant un instant des bienfaits du soleil matinal, mais bien vite on arrivera au-dessus, et ces barres de brouillard s’estomperont à la mi-journée, à notre grande satisfaction.
Redoutée des cyclistes, cette longue et raide montée, sans répit, est considérée comme l’une des plus difficiles de France ! Le « Tour » ne l’a empruntée qu’une seule fois en 1974 à l’ascension de laquelle, notre « Poupou national » prit une minute sur le grand Eddy Merx d’alors, par le versant ouest pratiquement d’égale difficulté. Ce dernier reprit son retard dans la vertigineuse descente, pour gagner l’étape à l’arrivée à Aix-les-Bains.
Récemment, un cyclotouriste amateur qualifiait, sur son site "cestdurlevelo", cette montée de belle… « chat-loperie » !
Le signal (mont) du Chat, culminant à 1504 m, représente la partie centrale du massif de l’Epine, et se situe entre le col du Chat, au nord, et celui de l’Epine, au sud. Ce massif sépare les bassins du lac du Bourget, à l’est, de celui du lac d’Aiguebelette, à l’ouest.
L’imposante silhouette métallique, supportant les nombreuses paraboles de tous diamètres, du relais TV-météo, domine l’esplanade-belvédère. Une imposante table d’orientation de pierre nous permet d’apprécier le vaste panorama sur les Alpes, Mont-Blanc en toile de fond.
Départ de la sympathique petite troupe sur le large sentier balisé rocailleux, hérissé de gros cailloux saillants, rendus un peu glissants suite à la fonte de la gelée blanche de début de matinée.
Aire d’envol vertigineuse, le premier point panoramique se présente à nous, surplombant à l’ouest, au loin : Yenne, le Rhône, la route de Lyon D1604, qui débouche au tunnel du Chat, percé un peu plus au nord au-dessous de nos pieds.
Le cheminement se poursuit sans difficulté, mais avec précaution, en forêt clairsemée, qui, certes, nous prive des rayons du soleil désirés. D’autres belvédères, toujours vers l’ouest, jalonnent ce parcours attrayant.
Quelques passages en faible déclivité descendante, et nous voici arrivés au pied du Molard Noir, promontoire à 1452 m. Surmonté de deux demi-tables d’orientation, l’une pour l’ouest, l’autre pour l’est, ce magnifique belvédère nous offre un regard circulaire pratiquement à 360°. Tous près, à une petite demi-heure de marche vers le nord, se dresse le monolithe de la Dent du Chat (1390 m). Derrière celle-ci, le Mont de la Charvaz nous cache une partie du bout du lac.
La Dent du Chat doit son nom à deux particularités :
- Le pic à la forme d’une canine (pas forcément de chat !)
- Sens très ancien de « passage (chas de l’aiguille) ; percée par le tunnel, elle domine le col du même nom, qui fut longtemps le principal passage entre l’avant-pays savoyard, et de la Savoie.
A l’ouest, à nos pieds : Saint-Jean-de-Chevelu et ses deux mini-lacs.
A l’est, à plus de 1200 m au pied de la vertigineuse falaise : Bourdeau et la vaste étendue d’un bleu azur du lac du Bourget, sur lequel ce matin, aucun bateau ne laisse son sillage. Sur la rive opposée : Aix-les-Bains, Brison-Saint-Innocent, la Chambotte. A droite, le Mont-Revard, la Dent du Nivolet, les Bauges, la Chartreuse, Belledonne, et bien sûr, se détachant au fond, à 83 km d’ici, le Mont-Blanc enneigé, lequel resplendira le temps de notre balade.
L’emplacement ici, pour un casse-croûte ensoleillé panoramique, ne souffrira d’aucune contestation, chacun trouvant « chaussure à son pied » pour son poste d’observation préféré, même si pentu ! Seul, l’ami Jean éprouvera quelque difficulté à s’approprier, après coup, en ces lieux peu propices, le petit espace horizontal lui autorisant une sieste rêvée…
Dernier coup d’œil avec joyeux commentaires, et la petite troupe, rassasiée, reprend à regret, lentement, le sentier en sens inverse, en légère pente ascendante, cette fois-ci. Trois quarts d’heure de marche au rythme des Pas Pressés, et apparaît la plateforme-belvédère du départ d’où le point de vue ne nous lasse pas.
La perspective d’une nouvelle invitation à nous arrêter à Chaux-Balmont, est accueillie avec enthousiasme. Se profile ensuite la descente en forte déclivité, de la D 42 : le recours à la « seconde » avec frein moteur étant largement utilisée pour ménager les « plaquettes » !
Ambiance des plus conviviales un peu plus tard, dans le logis décoré de l’artiste locale, où la profusion de friandises étalée sur la table laissait peu croire à l’improvisation… Donc un grand MERCI MADO.
La balade fut magnifique, la fin de journée inégalable… A la prochaine fois, selon le bon vouloir de dame Météo !
EP/vm
2016.10.11 CDRA Tain l'Hermitage
Le 11/10/2016
Voir album photos "Sortie gourmande"
Cave de Tain l’Hermitage
https://www.cavedetain.com/fr/
Restaurant
Cité du Chocolat Valrhona
Photos Viviane
Le 10/10/2016
Une randonnée d'automne : le sommet de la Charvaz au départ de Jongieux. Hélas, le sommet était dans la brume et nous n'avons rien vu.
Au retour, le groupe 1 a fait une variante.
Hélas, les vendanges n'étaient pas terminées et nous n'avons pas pu grapiller ....